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Au sommaire :
La Chine… Ce pays immense et
fascinant, dont une vie entière ne suffirait pas pour en découvrir
toutes les facettes, tous les mystères. Que dire alors de sa médecine
plusieurs fois millénaire ? Une fois de plus, Matière Grise a décidé de
sortir des sentiers battus et de se rendre sur place, dans cet Empire du
Milieu dont la politique de santé concerne plus d’un milliard
trois-cents millions d’habitants…
De fait, la médecine chinoise est née il y a environ 4.000 ans. Un savoir dont la renommée a largement contribué au prestige de la Chine en Occident depuis des siècles. Mais dans la Chine nouvelle, résolument tournée vers l’avenir, quelle peut encore être la place de cette médecine traditionnelle ? Est-elle condamnée à disparaître comme les Hutongs, ces quartiers pékinois typiques rasés tant pour leur insalubrité que pour leur passéisme ? Non, bien au contraire : aujourd’hui, elle est plus vivace que jamais !
Les héritiers de cette tradition semblent avoir réussi à faire le grand écart entre le passé et le présent, entre l’Orient et l’Occident. En tout cas, ils se sont adaptés à la modernité. Un pari étonnant, que l’équipe de Matière Grise voulait faire découvrir.
Médecine par les plantes, par la nourriture, par le thé, par l’acuponcture, par les massages et bien d’autres choses encore : quoi qu’il en soit, et aussi étonnant que cela puisse paraître, le système de santé chinois procure une espérance de vie comparable à la nôtre. Alors, prêts à découvrir les trésors des pharmacies chinoises ? Mais aussi les plats exotiques parfois étranges comme les brochettes de scorpions vivants, les bois de jeune cerf, la bile d’ours, ou encore le lézard séché en poudre ? Il parait que c’est excellent pour soigner l’asthme et stimuler la fonction sexuelle…
Enfin deux autres interrogations trouvent des réponses dans cette émission : d’abord que signifient les fameuses différences culturelles qui expliquent pourquoi les Chinois, et plus globalement les Asiatiques, appréhendent le monde de façon aussi différente de nous ? Et ensuite pour conclure la question clin d’œil : est-il vrai que les Asiatiques deviennent ivres beaucoup plus vite que les Occidentaux ?
Pour le savoir, suivez-nous jusqu’à la Grande Muraille… et au-delà !!
De fait, la médecine chinoise est née il y a environ 4.000 ans. Un savoir dont la renommée a largement contribué au prestige de la Chine en Occident depuis des siècles. Mais dans la Chine nouvelle, résolument tournée vers l’avenir, quelle peut encore être la place de cette médecine traditionnelle ? Est-elle condamnée à disparaître comme les Hutongs, ces quartiers pékinois typiques rasés tant pour leur insalubrité que pour leur passéisme ? Non, bien au contraire : aujourd’hui, elle est plus vivace que jamais !
Les héritiers de cette tradition semblent avoir réussi à faire le grand écart entre le passé et le présent, entre l’Orient et l’Occident. En tout cas, ils se sont adaptés à la modernité. Un pari étonnant, que l’équipe de Matière Grise voulait faire découvrir.
Médecine par les plantes, par la nourriture, par le thé, par l’acuponcture, par les massages et bien d’autres choses encore : quoi qu’il en soit, et aussi étonnant que cela puisse paraître, le système de santé chinois procure une espérance de vie comparable à la nôtre. Alors, prêts à découvrir les trésors des pharmacies chinoises ? Mais aussi les plats exotiques parfois étranges comme les brochettes de scorpions vivants, les bois de jeune cerf, la bile d’ours, ou encore le lézard séché en poudre ? Il parait que c’est excellent pour soigner l’asthme et stimuler la fonction sexuelle…
Eh oui ! Pour la médecine chinoise,
chaque aliment est considéré comme un médicament potentiel. Autrefois
réservée à la famille impériale, la nourriture médicinale est désormais
accessible à un plus grand nombre. Et voilà encore de quoi surprendre :
dans les restaurants on trouve facilement de l’hippocampe, des baies de
goji, des chrysanthèmes, des rhizomes et autres racines en tous genres.
Bon appétit !
Un peu plus loin, direction
l’hôpital, où on manie les aiguilles d’acuponcture comme autant de
baguettes magiques. Car les médecins chinois pensent que le corps est
gouverné par une énergie vitale, qui circule en suivant des trajets, les
méridiens. Dès lors la maladie survient lorsque le flux, la course de
l’énergie est perturbée. Elle est soit en excès, soit insuffisante, soit
bloquée. Le traitement vise donc à rééquilibrer cette énergie pour
qu’elle circule à nouveau correctement.
En fonction des pathologies, on va
piquer toute une série de points du corps. Il est parfois nécessaire de
piquer en profondeur pour obtenir l’effet thérapeutique et pas
uniquement à cause de la couche de graisse. Eh oui, les points ne se
situent pas tous en surface. Certaines aiguilles sont donc très longues !
Et de notre côté ? Pouvons-nous en
faire autant ? La médecine chinoise et ses secrets sont-ils réellement
accessibles aux Occidentaux ? Y compris en Belgique ?
La réponse est oui. D’une part les
médecins chinois sont de plus en plus souvent sollicités par des
patients qui ne trouvent plus leurs repères auprès de la médecine
occidentale ; et d’autre part des praticiens européens, notamment
belges, n’hésitent pas à se former aux techniques et aux diverses
pratiques de la médecine traditionnelle chinoise pour compléter leurs
savoirs et mieux venir en aide aux patients qui viennent les consulter.
Par exemple, chez nous l’acupuncture est reconnue, parfois même
remboursée par certaines mutuelles. Mais quelle peut être la légitimité
et la place de cette pratique médicale comparativement à la médecine
occidentale moderne ? Découverte d’un cas particulièrement spectaculaire
d’une dame souffrant d’horribles maux de dos et pour qui la morphine,
qu’elle prend depuis 30 ans, procure de moins en moins d’effet…Enfin deux autres interrogations trouvent des réponses dans cette émission : d’abord que signifient les fameuses différences culturelles qui expliquent pourquoi les Chinois, et plus globalement les Asiatiques, appréhendent le monde de façon aussi différente de nous ? Et ensuite pour conclure la question clin d’œil : est-il vrai que les Asiatiques deviennent ivres beaucoup plus vite que les Occidentaux ?
Pour le savoir, suivez-nous jusqu’à la Grande Muraille… et au-delà !!